Tout choc (physique, psychique, émotionnel) vécu va avoir une ramification dans le cerveau. Déjà il va y être inscrit. Mais il va aussi modifier la « circulation » de l’information dans le cerveau. Et donc la manière dont nous agissons, réagissons. La manière dont nous traitons l’information.
Le corps, et le cerveau, est constamment en train de faire le tri et supprime ce qui n’a plus de sens. Ainsi les chocs les plus bénins sont naturellement traités. Nous évoluons constamment de ces chocs de la vie.
Les chocs les plus lourds peuvent complètement altérer les fonctions cognitives. On a pu remarquer une dégénérescence de près de 60 % du cerveau limbique (cerveau dit émotionnel) et du néocortex (cerveau dit de la conscience) chez les survivants des attentats du Bataclan. Ces personnes se retrouvent dans une boucle du cerveau reptilien, une boucle de survie.
Le travail sur le cerveau est indispensable quelque soit le niveau de choc. Désengrammer intégralement la perception du choc au sein de l’individu, en parallèle de résoudre les problématiques physiques générées par le choc.
Dans les cas les plus graves, le travail au niveau du cerveau et des différents cortex représente l’essentiel du travail. Pour cela j’ai à ma disposition deux gammes d’outils.
Des outils physiques, qui vont jouer directement sur la structure physique des méninges. Qui vont stimuler par l’afflux sanguins chaque sous-partie du cerveau pour relancer les processus, rectifier les jeux de pressions au sein de la boite crânienne, relancer un itinéraire sein du traitement de l’information et rouvrir les zones dîtes mortes.
L’outil de l’empathie qui me permet de cibler précisément la nature du blocage d’un point de vu d’émotion et de sensation, d’information bloquée. De déterminer comment le traumatisé s’est programmé dans son comportement vis-à-vis de lui même, des autres, de la société ou de l’extérieur. Et du coup de cibler précisément le travail nécessaire, étape par étape, pour sortir du trauma et surtout retrouver une pleine fonctionnalité, sur tous les plans.
Trauma (Évènement traumatique) :
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Burn-out
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Acte terroriste
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Violence conjugale
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Victime d’accident de voiture
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Ivg et img : médicamenteux et médicalisés
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Violence sexuelle : viol, agression sexuelle, inceste
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Maltraitance dans l’enfance : violence éducative ordinaire
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Deuils : témoin de suicide, deuil d’enfant, deuil de proches
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Fausse couche : précoce, de premier terme, pré-accouchement
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Violences liés aux métiers (pompiers, policiers, militaires (et leur famille), personnels soignants/médicales…)
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ainsi que dans tout autres vécus traumatiques…
Traumatisme (Conséquence) :
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Anxiété
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Bégaiement
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Sortie d’amnésie dissociative
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Addiction : drogue, alcool, sexuelle
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Se sentir détaché de soi et du monde
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Hyperactivité, hyper/hypo sexualité, hypersensibilité, hypervigilance
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Difficulté à profiter de la vie, à avoir de l’espoir et à éprouver du plaisir
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Stress post-traumatique: abus, attaque, accidents, flashbacks, cauchemars
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Difficulté à conserver un emploi, une famille, des amitiés et d’autres relations
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Se sentir figé ou coincé dans des circonstances familières sans comprendre pourquoi
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Pensées négatives persistantes et régulières sur sa capacité à atteindre, réussir et mériter
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Méconnaissance de soi lié à la douance (Haut potentiel, zèbre, HPI/HPE, surdoué, multipotentiel…)
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Réactions émotionnelles intenses et dérangeantes qui semblent hors de propos avec la situation actuelle
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Blessures liées à la relation: négligence, parentalité sévère pendant l’enfance, divorce, séparation enfant-parent
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Difficulté à se concentrer en raison de la peur, de pensées dérangeantes ou de sensations physiques (corporelles) indésirables
Les avantages de mon travail :
Les avantages spécifiques sont aussi individuels que chaque personne et peuvent inclure :
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Intégration de parties dissociatives
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Réduction des symptômes du trouble anxieux
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Sens et une capacité accrus de fixer des limites
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Capacité accrue d’intimité et de relations épanouies
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Libération des symptômes de stress post-traumatique
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Sentiment général d’être plus en phase avec soi-même
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Délivrance de certains problèmes physiques ou maladies récurrentes
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Capacité accrue de réguler les émotions comme la colère, la peur ou la tristesse
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Réduction de la douleur (à la fois émotionnelle et physique) causée par un traumatisme et des blessures de l’intime